HISTORIQUE
Suites aux travaux effectués par un comité sur l’itinérance au début des années 1980, force est de constater que les ressources existantes ne répondent pas à tous les besoins des femmes en difficulté dans la métropole. À travers une volonté d’offrir un continuum de services aux femmes itinérantes et à risque de l’être, le comité observe que les femmes ont accès à des ressources d’urgence, de court terme (3 mois), mais il y a sans aucun doute un manque au niveau de ressource à moyen terme (6 mois à 2 ans) avec soutien psychosocial 24 heures/jour, 365 jours/année. C’est suite à ce constat que les Maisons de l’Ancre voient le jour sur la rue Charland à Montréal en 1982.