Je suis si fière d’écrire ici que j’ai fait presque deux années aux Maisons de l’Ancre ! Croyez-moi, ce n’est pas toujours facile d’être entourée de huit autres femmes qui ont aussi leurs problèmes. Il peut être facile de se perdre dans les sentiments, négatifs ou positifs, des autres femmes. Les intervenantes m’ont aidé à me recentrer sur mes propres blessures, mes buts, mes rêves, mes comportements à travailler. Je suis ici pour me reconstruire et je ne dois pas perdre mes objectifs de vue (mon plan de vie). J’ai donc travaillé à mon rythme, et j’ai trouvé que ce deux ans a passé tellement vite. Les intervenantes ont été pour moi un outil tellement important, elles sont merveilleuses! Merci à toutes les intervenantes des Maisons de l’Ancre, je vous aime !
Je suis si fière d’écrire ici que j’ai fait presque deux années aux Maisons de l’Ancre ! Croyez-moi, ce n’est pas toujours facile d’être entourée de huit autres femmes qui ont aussi leurs problèmes. Il peut être facile de se perdre dans les sentiments, négatifs ou positifs, des autres femmes. Les intervenantes m’ont aidé à me recentrer sur mes propres blessures, mes buts, mes rêves, mes comportements à travailler. Je suis ici pour me reconstruire et je ne dois pas perdre mes objectifs de vue (mon plan de vie). J’ai donc travaillé à mon rythme, et j’ai trouvé que ce deux ans a passé tellement vite. Les intervenantes ont été pour moi un outil tellement important, elles sont merveilleuses! Merci à toutes les intervenantes des Maisons de l’Ancre, je vous aime !
Hello,
Ever since I was little I’ve lived in places where life is hard. Scared of everything, parents, neighbours, family.... never safe.
I left to find my own way when I was so young, thinking it was freedom, but ended up on the street doing a job that lots of people think is degrading (gross was the word used), but it was money so I could survive. To do it, I started taking drugs, my head didn't stop spinning.
That damned freedom was just as scary as my life. It had to stop, so I started going to housing resource centres. Good moments and some not-so-good, I’d stay, leave, return, and finally I found a spot at the de l’Ancre and then at Habitations Pelletier.
I don’t go out much, but sometimes I take part in activities at Pelletier, and I talk to the women. Today, I’m a bit less scared of others. When I feel good, I go out, otherwise, I stay in my living room, but it’s my choice. Sometimes, I tell myself that it's my forever home, but sometimes I’m scared I’ll lose everything, my fear won't leave, after all. But I’m slowly starting to believe in my own place, and I’m no longer all alone, I have my cat!
Thank you, Les Maisons de l’Ancre,